“SUEÑOS DE LIBERTAD”: GABRIEL E BEGONA METTONO A SEGNO IL COLPO DECISIVO. ANDRÉS CE LA FARÀ?
La semaine débute avec un nouvel épisode percutant de Sueños de Libertad, où les destins de ses personnages s’entrelacent entre décisions douloureuses, révélations inattendues et un futur incertain. Dans le chapitre 438, diffusé le lundi 17 novembre, les spectateurs seront témoins d’une chaîne d’événements qui changeront complètement le cours de l’histoire. Drame, suspicions et émotions contenues marqueront un chapitre qui promet de ne laisser personne indifférent.
Tout commence avec Claudia, qui annonce enfin sa décision définitive concernant son embauche à la Casa Kuna. Cependant, ce qui semblait être un triomphe professionnel se transforme en un coup dévastateur. Un imprévu vient ruiner ses plans et la laisse complètement déconcertée. La joie initiale s’évapore lorsque le projet est suspendu par Brosard, qui, sans préavis, décide de supprimer l’initiative. Claudia, abattue, trouve du réconfort auprès de son amie Maripaz, bien que l’incertitude quant à son avenir pèse plus que jamais.
Pendant ce temps, sur un ton beaucoup plus introspectif, Digna contemple une nouvelle possibilité qui pourrait transformer sa vie. Après des années de sacrifices et de déceptions, une opportunité de travail s’ouvre devant elle. Et même si elle hésite encore, l’idée d’enseigner des tâches ménagères, encouragée par sa petite-fille Julia, commence à semer une nouvelle illusion dans son cœur. Dans une scène pleine de tendresse, elles partagent un moment précieux en cuisinant des biscuits, se souvenant que même au milieu des tempêtes, les petits gestes familiaux restent un refuge.

Dans une autre intrigue, Cristina vit un moment de pure confusion émotionnelle lorsqu’elle croise Beltrán. Après avoir appris son engagement avec son amie, la tension entre eux est inévitable. Il tente d’agir avec naturel et lui demande même de l’accompagner pour choisir un cadeau pour sa fiancée. Cristina accepte, mais la situation devient inconfortable. Le choix du parfum idéal devient un rappel de tout ce qui aurait pu être et ne fut pas. Avant de se séparer, Beltrán lui remet une invitation à son mariage, un geste qui la laisse déconcertée. Elle l’accepte par courtoisie, mais au fond, elle ne sait pas si elle sera capable d’y assister.
Dans la maison des “de la Reina”, Begoña traverse également un tourbillon émotionnel. Elle réunit sa famille pour annoncer une nouvelle importante : elle a été licenciée du dispensaire. Sa voix, entrecoupée de tristesse, reflète non seulement la frustration de perdre son emploi, mais aussi la peur de ce qui l’attend. Son fiancé, Gabriel, tente d’intervenir pour annuler la décision, mais elle lui demande fermement de ne pas le faire. Elle ne veut pas dépendre de lui ni être vue comme quelqu’un qui obtient des faveurs grâce à sa relation. Cette détermination, bien qu’admirable, met en lumière la distance émotionnelle croissante entre eux.
Le coup pour Begoña s’aggrave lorsqu’elle apprend l’avenir incertain de la Casa Kuna, un projet qu’elle considérait essentiel au bien-être de la colonie. Elle décide d’intervenir et de parler à Chloe dans l’espoir de parvenir à un accord, mais la rencontre se termine en un désaccord total. Désespérée et sans alternatives, elle finit par recourir au seul homme qui pourrait l’aider, même si elle sait que cela a un prix : Gabriel.

Pendant ce temps, l’énigmatique Andrés reste déterminé à démasquer son cousin Gabriel. Sa détermination grandit lorsqu’il découvre que l’avocat de Remedios lui a refusé un entretien avec elle, lui fermant la porte à un indice crucial. Le temps lui est compté. Gabriel prévoit d’épouser Begoña dans seulement un mois. Sachant qu’il ne peut pas perdre un seul jour, Andrés fait appel à Ángel, son enquêteur de confiance, et lui confie la mission de rassembler des preuves concrètes avant qu’il ne soit trop tard. La tension monte à chaque scène. Andrés ne cherche pas seulement la vérité, mais aussi la justice.
Son affrontement avec María marque un autre point culminant du chapitre. Lorsqu’il l’accuse de dissimuler des informations qui pourraient tout changer, María tente de se défendre, mais il ne fait plus confiance à personne. Il est convaincu que derrière le doux visage de Gabriel se cache un homme capable de tout pour maintenir sa position. Et tandis qu’en surface tout semble calme, en dessous se prépare une guerre silencieuse.
L’épisode avance et les secrets continuent de refaire surface. Dans un revirement de situation inattendu, Gabriel et Begoña décident de fixer la date de leur mariage, marquant le début d’un compte à rebours qui promet d’être semé d’embûches. Bien que tous deux tentent de paraître heureux, leurs regards trahissent des doutes et des peurs. Elle, encore blessée par son licenciement, craint d’unir sa vie à un homme qui lui devient de plus en plus étranger. Lui, conscient que son cousin enquête sur lui, fait semblant d’être serein tout en ourdissant son prochain coup.

Parallèlement, María cherche désespérément à reconstruire sa relation avec Andrés, mais sa tentative se heurte à un mur émotionnel. Lui, avec un mélange de douleur et de froideur, lui fait clairement comprendre que leur histoire est terminée. “Il est temps de clore ce chapitre”, dit-il sans élever la voix. Cette phrase résume l’esprit de la semaine. Chaque personnage, à sa manière, tente de mettre fin à quelque chose sans savoir s’il est vraiment prêt à le faire. La question demeure : Gabriel réussira-t-il à cacher ses machinations face à la détermination inébranlable d’Andrés ? Le jeu de pouvoir et de secrets est plus intense que jamais, et le prochain épisode de Sueños de Libertad s’annonce comme un véritable choc émotionnel.